dimanche 1 mai 2016

La mort à bord des Jets ! (4ème partie et fin)

La grande question qui se pose sur les « chemtrails » est tout simplement leur existence et tout est possible dans ce domaine où les gouvernements se refusent de confronter les différentes études et constats avec les scientifiques, et nient le phénomène en affirmant qu’il s’agit tout simplement de « comtrails », traînées humides derrière les réacteurs d’avions formant des cristaux de glace. La théorie de l’existence des chemtrails, qualifiée de complotiste, se voit opposer les démentis répétés des gouvernements et organismes mondiaux, en Italie et plus généralement en Europe, alors que le phénomène a fait l'objet de questions de plusieurs parlementaires. Il est vrai que, si épandage il y a, il doit être assez aisé, après des passages avec chemtrails supposés, de comparer des mesures avant et après et de clore la discussion ou d’ouvrir une étude plus poussée suivant les résultats. Il est tout-à-fait possible de faire des études contrôlées par un collège de scientifiques tenant de l’une et l’autre thèse directement dans les traînées incriminées. Or des scientifiques sérieux ont engagé leur réputation en affirmant qu’on y trouve des substances dangereuses qui inéluctablement se posent sur le sol comme les métaux lourds.

C’est justement ce refus d’en finir une fois pour toute avec les « complotistes » qui pose le véritable problème. Pourquoi ce refus ? C’est la même attitude avec les climato-sceptiques où tout est fait pour ne pas accepter le débat en se réfugiant derrière le GIEC, censé représenter un consensus scientifique dont on peut constater qu’il n’est pas partagé par des scientifiques dont le renom et la compétence ne peuvent être mise en doute. Ceux-ci ont d’ailleurs le handicap de ne pas bénéficier des mêmes crédits pour leurs études, voire de subir des pressions pour ne pas publier. De plus ce sont les politiques qui interprètent à leur manière les conclusions du groupe scientifique du Giec et l’on peut constater que les conclusions sont volontairement manipulées vers un but politique qui se sert sans scrupule de la science. 

N’ayant aucune compétence dans ce domaine des traînées dans notre ciel autre que celle d’un scientifique, curieux et sceptique par nature, je me contente de constater que le sujet est sérieux et que notre santé, non seulement peut être en jeu, mais peut aussi l’être pour des buts inavouables. « On ne nous dit pas tout » dit Anne Roumanoff. La désinformation et la culture du secret sont employées de manière récurrente. C’est donc sur un dernier constat, que tout le monde peut faire un jour ou l’autre que je terminerai cette série d’articles destinée à permettre à chacun non seulement de rester vigilant mais de ne pas admettre qu’une question, potentiellement aussi grave, puisse être écartée d’un revers de main quand de nombreuses associations et de nombreux scientifiques apportant leur concours laissent un doute sur les affirmations des gouvernements.

Je vais donc vous parler des épandages de fibres assimilables à des fils de la Vierge. Ces derniers voltigent dans l'air à l'automne et sont produits par l'araignée telles un cerf-volant pour se déplacer au gré du vent. Mais les fibres dont il s’agit sont des fibres artificielles que de nombreux témoins ont récolté dans la nature après le passage d’avion émettant une traînée persistant longtemps et se dispersant lentement. C’est un fait indéniable et vous trouverez facilement des photos et vidéos qui le montrent. Des biologistes et des médecins ont même fait un rapprochement avec cette maladie spectaculaire autant qu’handicapante, dite « maladie des Morgellons ». Elle consiste en l’émergence continue de fibres de couleurs différentes sortant de plaies analogues à la gale. On ne sait pas vraiment la guérir. Certains biologistes et médecins, les Dr Castle et Staninger entre autres, ont montré qu’il y avait des correspondantes troublantes avec les fibres ramassées dans les champs suite à certains épandages après les avoir fait analyser dans 4 des meilleurs laboratoires dont celui du MIT du Massassuchets. L’un des constats serait que ces fibres sont un produit de la nanotechnologie, on parlerait de nano-fils. On serait donc dans le très petit, dans le domaine des nano-particules.
L’un des meilleurs moyens à notre disposition de béotiens en la matière est de soumettre les fibres ramassées à l’épreuve du feu. Les pseudo-fils de la Vierge artificiels ne se consument pas mais se rétractent sur eux-mêmes, ce qui n’est pas le cas des fils naturels. On trouve la démonstration sur internet. Ces fils, parfois de très grande longueur, sont des fibres synthétiques provenant, selon le laboratoire Analytica, du kérosène et de l’huile des moteurs d’avions. Ces fibres peuvent désormais se trouver n’importe où et se mêler à notre alimentation. Elles peuvent se trouver dans notre maison et on peut les détecter à l’aide d’une lumière noire fluorescente. Elles sont très fines et une loupe peut s’avérer nécessaire. Ces constats visuels liés indubitablement à certains passages d’avions montrent d’une façon concrète que l’on déverse des « choses » sur nos têtes et que l’on nous dit que ce n’est que des « cristaux de glace »… mon œil !

A ce stade il faut se demander si ces fibres que nous pouvons voir sont dangereuses.  Selon certains scientifiques, ces nano-fibres seraient capables de se diviser. Elles pourraient alors passer par inhalation à travers les barrières sanguines dans les poumons, entrer dans la circulation sanguine et voyager vers le cerveau ou d’autres parties du corps. Ce sont de minuscules morceaux de matière qui intéressent la science car elles pourraient un jour être utilisées pour construire des circuits d’ordinateur, elles existent donc. Le Dr Staninger pense que ces nanoparticules pourraient être en mesure de s’auto-assembler en nano-fils complets une fois dans notre corps. De toute évidence elles peuvent se trouver désormais dans notre alimentation puisqu’elle peuvent aussi être dans les plantes et les animaux. Elles seraient même capables de copier l’ADN des microbes et de certaines autres cellules avec lesquelles elle serait en contact dans notre corps. Le Dr Castle déclare qu’entre un à vingt millions d’américains possèdent ces capteurs, antennes câblées et matrices électroniques à l’intérieur de leur corps. Et voilà que l’on reboucle sur la maladie des Morgellons dont le nombre augmente de plus en plus chaque année, à la vitesse de 1000 victimes par jour, puisqu’on l’on a de plus en plus de victimes pour la répandre. 

Je n’irai pas plus loin en laissant à chacun le soin de se documenter et de tenter de démêler le vrai du faux. Nous nageons dans un univers scientifique de pointe dont les perspectives et les dangers sont immenses. L’épandage de fibres ne peut être contesté. La première question est pourquoi. La deuxième est l’inhalation et l’ingestion de ces fibres sont-elles sans danger. La troisième est « y a-t’il un lien avec la maladie des Morgellons ». On peut même se demander si ces nano-fibres ne porteraient pas aussi le microbe de la gale, ce qui ferait le lien avec cette maladie. Les fibres ne sont pas seules en cause et j’ai largement montré dans les articles précédents toutes les soi-disant « saloperies » qui nous atteindraient par les airs. Il appartiendrait aux autorités compétentes de répondre, scientifiquement et en débat contradictoire, à ces questions qui peuvent être vitales pour l’humanité toute entière.

Si les gouvernements sont acculés à admettre les épandages, leur nature et leurs effets, ils n’échapperont pas aux deux questions : « Pourquoi ? » et « A qui profite le crime ». A la deuxième, les « complotistes » ont une petite idée – dépopulation et maîtrise du climat, le dernier pouvant être un agent complémentaire pour réaliser l’autre. Ils ont pris pour vrai le compte-rendu du discours final du Président du groupe Bilderberg. A vous de juger. 

Le meilleur moyen de faire taire les complotistes

Est de leur révéler la vérité toute nue. 

Il ne semble pas qu’on ait envie

De les voir rougir de honte. 

Alors soyons vigilants ! 

Claude Trouvé 
Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon


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