jeudi 19 novembre 2015

L’Islam : Que faire après le 13 novembre 2015 ?

La vidéo ci-dessous du « J’accuse » de Michel Collon, journaliste, essayiste belge, fondateur du collectif indépendant Investig'Action, mérite d’être visionnée et met en lumière la responsabilité des USA et de notre gouvernement dans les attentats perpétrés en France. Il montre que nous sommes notre propre « ennemi », et que nous nous autodétruisons. Quand on dit nous c’est en excluant les dirigeants de ce pays. Nous c’est le peuple des innocents. N’est-ce pas bizarre que ce soit toujours des innocents qui soient visés et non leurs représentants ? Car enfin si j’étais un djihadiste qui ait combattu en Irak ou en Syrie, ne serait-ce pas plutôt Hollande, Valls ou Fabius que je souhaiterais éliminer ? Ils sont miraculeusement protégés. Ceux qui se souviennent de l’attentat du Petit Clamart contre De Gaulle savent pourtant que c’est ainsi que l’on procède.
 



Donc si ce sont les innocents qui sont visés c’est que le but est ailleurs. Le but est alors l’infiltration de la terreur dans l’esprit du peuple, et du désordre par une incitation à une guerre civile contre les musulmans en général à défaut de pouvoir connaître ceux d’entre eux qui sont radicalisés. Mais terreur et désordre sont utilisés pour élaborer un « Patriot Act » américain remis à la mode française et à impliquer un peu plus le pays dans la guerre en Syrie ou ailleurs. A qui profite le crime ? A l’EI ou au gouvernement ? La réponse à cette question implique directement le commanditaire : un général irakien de Sadam Hussein passé à l’EI comme mercenaire ou les USA qui commande des troupes armées et entraînées par les USA et ses vassaux complices ? De toute évidence les attentats sont directement ou indirectement à mettre à la charge de notre gouvernement, co-commanditaire.

En dehors de la compassion pour les victimes, l’horreur de ces attentats sur des innocents génère des réactions très contrastées qui vont de l’abattement et de la tristesse à la révolte patriotique et à une montée de sentiments voire d’actions racistes. En dehors d’un climat de terreur et de restrictions des libertés, c’est la paix civile entre les deux civilisations qui cohabitent en France qui est menacée car la montée de l’islamophobie est en marche. Il importe donc de regarder posément quels problèmes posent réellement l’Islam et quelles solutions nous devrions y apporter. Les deux menaces auxquelles nous sommes exposés sont d’une part une invasion de peuplement d’une autre civilisation non assimilable ou non assimilée et d’autre part une situation d’attentats terroristes par l’Islam de la guerre que représente le djihadisme.

Sur cette dernière menace, la disparition de l’EI est la solution mais elle ne saurait être gagnée si ceux qui lui ont permis d’exister cessent de jouer un double jeu. Le rôle de la France n’est pas la guerre, c’est celui d’une nation responsable encore respectée au Moyen-Orient qui peut faire cesser ce double jeu et soutenir le gouvernement syrien, arrêter de sanctionner la Russie qui œuvre à la destruction de tous les rebelles, que soit Al-Qaïda ou l’EI, et servir de médiateur entre Bachar Al-Assad et ses opposants une fois la paix revenue. Le résultat une fois la paix revenue sera l’arrêt des attaques terroristes en France. L’aura et l’attrait de l’EI aura disparu, ses réseaux se liquéfieront naturellement. Mais aussi les populations syriennes et irakiennes, émigrées fuyant les zones occupées par les rebelles, qui ne sont plus des opposants mais des mercenaires, reviendront chez eux, comme ils commencent à le faire. L’immigration de peuplement s’en trouvera considérablement réduite. Cette solution est tout-à-fait réalisable sur un temps relativement court, sauf qu’elle demande une toute autre politique étrangère vis-à-vis des États-Unis, d’Israël et des États du Golfe dont on ne perçoit pas que la France puisse avoir le courage et l’intention de le faire. 

La menace du terrorisme étant pratiquement réglée et le flux migratoire étant revenu au niveau des années 2000, il nous faudra reconstruire une identité française, redonner à notre peuple l’amour de son pays et des perspectives d’espoir et de fierté pour notre jeunesse. La tâche est immense et peut demander de longues années. C’est tout un pays qu’il faut reconstruire et qui doit retrouver dans ses racines et ses frontières la force de renaître. Il faut arrêter de se battre la coulpe et de donner une image culpabilisante de notre pays à la jeunesse en montrant la Lumière plus que l’Ombre, l’inverse étant fait aujourd’hui. Par exemple la colonisation ne doit pas être traînée comme un boulet, comme l’extermination des juifs en Allemagne. Si des erreurs ont été commises, la colonisation a sorti beaucoup de pays de l’âge de pierre. On pourrait par exemple parler de Lyautey qui a encore ses rues et ses statues au Maroc parce qu’il y est vénéré.

Si ceci est un préalable avant toutes choses, il y a aussi la re-concentration de notre économie sur la consommation intérieure et la production nationale qui évite de laisser notre économie dans les mains de lobbies « anationaux » et permet de diminuer le chômage avec un retour à une monnaie commune ou nationale.  On peut alors en revenir à l’immigration et en particulier à l’immigration musulmane qui est le plus importante. La récupération de nos frontières permet de diminuer le flux migratoire avec une immigration choisie. L’argent récupéré sur les aides diverses, chômage compris, peut utilement être utilisé pour  aider certains pays à juguler leur émigration et à garder ou récupérer leurs élites indispensables à leur éclosion dans la mondialisation. 

Il nous reste la tâche concernant l’immigration de peuplement par la fécondité des résidents musulmans en France qui, petit-à-petit, font varier le curseur de population à leur profit pour à terme devenir la population dominante et imposer leur culture, leurs mœurs, leur religion, donc leurs lois, incompatibles avec notre civilisation. Or, encore aujourd’hui c’est ainsi que cette population grandit le plus et représente les 3/4 de l’apport de la population musulmane. Si ceci permet à la France de posséder une bonne évolution démographique, ceci cache aussi une diminution de la population de souche. Il est donc impératif de mener une politique d’assimilation. On est assimilé lorsque l’on reconnait, la primauté des lois de la République sur les lois religieuses, la laïcité, la nécessité de connaître la langue, les grandes pages de l’histoire de notre pays, sa culture et ses mœurs alimentaires et vestimentaires. Etre assimilé c’est devenir inaperçu dans la population française, l’assimilé est alors des nôtres. S’il n’aime pas notre pays, il comprendra qu’il ne peut y rester.

On n’adhère pas à un pays si celui-ci n’est pas déjà fier de lui-même, donc incapable de donner envie de se fondre dans son identité. C’est donc à l’École qu’une grande partie du travail doit être faite avec une nécessité d’apprendre le français. Diffuser le français par tous les moyens est une nécessité chez les enfants mais aussi chez les adultes. Dans le domaine de la culture, la culture musulmane ne doit pas prendre plus de place que nos cultures régionales. Le multiculturalisme ne doit pas conduire au remplacement d’une culture par une autre. La propagation de notre propre culture doit être le souci constant du pays. Il est temps de rétablir un service civil obligatoire car le taux de chômage est très élevé chez les jeunes, etc. L’implantation forcée d’individus provenant de la communauté musulmane dans des lieux de la communauté d’origine du pays est contreproductive. Le phénomène de regroupement des communautés est lié à l’instant grégaire inhérent à l’homme et se retrouve dans toutes les grandes villes du monde. 

La liste des mesures à prendre est très longue et on pourrait ajouter une politique familiale revigorée financièrement pour des familles de trois enfants et dégressive au-delà. Je n’ai ni l’intention ni les capacités d’épuiser le sujet mais la nécessité de l’assimilation et du rejet de ceux qui ne veulent pas s’assimiler doit être le fil directeur de la politique française. L’islamophobie ne peut conduire qu’à la guerre civile et nous succomberons sous le nombre. Si cette orientation politique échoue par manque de volonté des élites, il en sera fini de la France de nos ancêtres et la prédiction d’Erdogan et de sommités religieuses musulmanes voire même de Poutine se réalisera… La France de nos petits-enfants sera musulmane. Malheureusement on est si loin de prendre cette direction que l’on finit par se demander si tout ceci n’est pas voulu, au nom du multiculturalisme qui forme un humain dévertébré sans filiation, sans identité, sans racine et sans frontières, pour le livrer sans défense à la société de consommation, et à l’esclavage de ceux qui tirent les ficelles du monde. 
https://youtu.be/VYDuSptRR00

Puisse le peuple comprendre que son secours est dans la paix 

Comme la domination du monde est dans la guerre

Au profit de ceux qui la déclenchent 

Pour leur propre puissance

Et leur enrichissement ! 

Claude Trouvé
Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon


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