jeudi 13 juin 2013

Quand un train peut en cacher un autre… (5ème partie)


C’est plus de 1,5 milliard d'habitants de la Terre qui sont de confession musulmane, soit un quart de la population totale. Selon l'étude du Pew Research Center de 2009, 2/3 des musulmans vivent en Asie et un musulman sur cinq vit au Proche-Orient ou en Afrique du Nord. L'Indonésie est le pays qui compte le plus de musulmans avec 88% de sa population.


Je vous ai présenté les chiffres les plus probables de la population musulmane actuelle et les prévisions que l’on peut raisonnablement avancer pour les années futures en France, si rien ne change dans la législation actuelle et si se maintient la politique d’immigration que nous vivons. S’il ne fallait en retenir que 2 chiffres, je choisirais celui d’un doublement de la population musulmane tous les huit ans et d’une augmentation due pour les trois quarts à la fécondité de cette population. La limitation de l’immigration ne suffit pas et de loin à stopper une évolution particulièrement rapide. L’assimilation de cette population est un impératif. Elle peut agir sur leur sentiment d’appartenance à une culture et à un pays d’accueil ainsi que sur une fécondité qui se rapprocherait progressivement de celle des pays occidentaux.


Si cela peut nous faire réfléchir, ce problème de la fécondité musulmane se pose partout dans le monde où vit une autre culture encore majoritaire. En dehors des pays occidentaux il est révélateur de s’intéresser à la Birmanie. Les autorités birmanes ont décidé de limiter à deux le nombre d'enfants que pourront avoir les familles musulmanes dans les provinces de Buthidaung et Maundow près du Bangladesh pour réduire la croissance démographique de cette population, bien plus forte que celle des bouddhistes qui forment la majorité de la population du Myanmar.


Cette annonce faite en fin de semaine dernière par le porte-parole de l'Etat birman de Rakhine, Win Myaing dans le quotidien britannique The Guardian n'a pas été accompagnée de précisions quant aux moyens employés pour obtenir ce résultat, et les autorités demeurent discrètes sur ce point. L'expérience de la Chine voisine peut permettre d'imaginer non seulement amendes et brimades mais encore la barbarie des stérilisations et des avortements forcés.


Ce sont les « tensions » entre la communauté bouddhiste majoritaire et les musulmans Rohingya qui justifient ces mesures de contrôle, voire de nettoyage ethnique, aux yeux des autorités. Les violences ont repris de plus belle ces dernières semaines. Leur taux de croissance démographique, selon les autorités birmanes, est dix fois supérieur à celui des bouddhistes voisins et c'est donc la « peur » face à cette expansion qui justifie ces mesures que l'on peut qualifier de génocidaires.


On peut aussi citer le peuplement rapide du Canada dans un autre continent. Une enquête nationale sur les ménages datant du 8 mai 2013, nous apprend que la population musulmane au Canada a augmenté de 82% au cours de la dernière décennie (579 740 musulmans en 2001 à plus de 1 million en 2011). Aujourd’hui, la population musulmane au Canada représente environ 3,2% de la population.


En France notre immigration musulmane vient essentiellement du Maghreb et de l’Afrique sub-saharienne. Si le taux de fécondité varie de 2,1 à 2,7 dans les pays du Maghreb, elle est de 4,93 au Tchad musulman à 56%, 6,35 au Mali musulman à 92% et de 7,52 au Niger musulman à 98%. Il faut comparer ces chiffres au taux de fécondité de la population non immigrée française qui doit être de l’ordre de 1,8 pour une moyenne nationale de 2,01.


La France est entrée dans une période de récession alors que notre population ne s’accroît que par une population important non seulement une autre culture et une autre religion mais qui est, selon les chiffres officiels celle qui nourrit le plus le chômage. Tout ceci se traduit par leur passage dans le trafic, le vol, la drogue et des actions violentes menaçant notre sécurité. Un climat d’incompréhension se développe entre les deux communautés et ne fait qu’augmenter avec la croissance de cette communauté musulmane quel que soit le sentiment, en moyenne accueillant, du peuple français. C’est ainsi que l’on trouve une surpopulation musulmane dans les prisons. Selon une étude basée sur les chiffres publiés par Claude Guéant, on observerait donc 13,6 fois plus de détenus parmi les musulmans que parmi les non-musulmans.


On peut contester ce chiffre mais pas le fait d’une surpopulation notoire musulmane dans les prisons. C’est non pas une stigmatisation de cette communauté mais au contraire un constat d’échec de la politique d’immigration menée jusqu’à présent. Il est vérifié dans d’autres pays (Guyane, Belgique, Kenya, Inde et Russie) où la population musulmane atteint 10%, cas de la France en 2015, les actes de rébellions et d'anarchie pour dénoncer leurs conditions de vie augmentent.


A Paris, nous voyons déjà les voitures brûler. Toute action contre les musulmans offense l'islam, et débouche sur des soulèvements et des menaces, comme à Amsterdam, avec l’opposition aux caricatures de Mahomet et aux films sur l'islam. À partir de ce stade, ils font du lobbying pour obtenir du gouvernement la possibilité d’appliquer la charia (loi islamique) dans leurs ghettos et sur des sujets mineurs. Rappelons que l'objectif ultime des islamistes est d'établir la charia dans le monde entier.
   

À partir de 20% et plus, le cas probable de la France à partir de 2030, le pays peut s’attendre à des émeutes violentes pour un oui pour un non, à la création de milices djihadistes, à des assassinats sporadiques, et à des incendies d'églises et de synagogues. C’est le cas de l’Ethiopie actuellement.


Le montagnard non averti mérite d’être secouru.


L’inconscient informé n’a pas d’excuse


C’est le cas de la France


Qui vend son âme !


Claude Trouvé

Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire