vendredi 29 juin 2012

L’invasion islamique mise en lumière

Le nouveau président, son gouvernement et la nouvelle Assemblée, largement adoubés à plus de 93% par la communauté des immigrés à large majorité musulmane, accélère le processus de désintégration de la nation. La nécessité du fédéralisme, notion habilement cachée lors des élections, s’introduit dans le discours présidentiel pendant que les premiers décrets et lois vont dans le sens du laxisme et du favoritisme du multiculturalisme pour ne pas dire autre chose.

C’est une accélération de la disparition de l’Etat-nation et une ouverture à l’arrivée de français non assimilés, voire non intégrés si l’on en croit les récentes déclarations de Manuel Valls qui veut accélérer les naturalisations. Le vote des étrangers n’en est que la partie visible mais l’immigration ne diminuera pas. Nous continuerons à accueillir une population venant principalement du Maghreb dans un pays où le chômage augmente et le pouvoir d’achat baisse.

Quel en est la raison alors ? Si nous n’avons plus de réel besoin de main-d’œuvre, sauf cas particuliers souvent ponctuels et limités dans le temps, c’est que nous poursuivons un autre but. On en trouve une partie d’explication économique dans nos accords avec l’Algérie. Nous facilitons cette émigration pour des raisons de sécurité d’approvisionnement d’énergie pétrolière. Mais la raison fondamentale est cette poussée de l’influence de l’islam dans les décisions gouvernementales. L’arrivée de musulmans aux plus hautes responsabilités de l’Etat n’y est évidemment pas étrangère.

Lorsque cette religion sera la première religion de France, comme elle l’est déjà dans le monde, la république modifiera sa constitution pour la rendre compatible avec la charia. Nous y allons de plus en plus vite au rythme de la fécondité et du prosélytisme. Les voix de ceux qui crient au loup sont étouffées et il faut aller s’exprimer à l’étranger pour ne pas encourir les foudres de la justice par le biais des MRAP et SOS racisme. 

C’est ainsi que 7 islamologues réputés ont écrit en octobre 2009 au gouvernement italien pour lui demander d’intervenir sur la France ! On croît rêver d’en arriver là mais c’est ainsi car la conquête de Rome avait été évoquée au congrès de l'UOIF (Union des Organisations Islamistes de France). L'UOIF venait de prendre les rênes de la Fondation des œuvres de l'islam de France, créée par Dominique de Villepin (liée à la Caisse des dépôts afin d'assurer le financement des mosquées). 

 

Ces islamologues se sont mobilisés afin de demander l'arrêt de toute collaboration gouvernementale avec un mouvement issu des Frères Musulmans. Première étape, alerter les autorités italiennes nommément visées par une stratégie de conquête "soft". Voici des extraits de cette lettre.

« Lors de la 26ème Rencontre des musulmans de France, qui a eu lieu des 10 au 13 avril 2009, au Bourget, le « docteur » Tareq Suwaidan, invité à donner une conférence sur Le Prophète Mohamed : un modèle pour l’humanité, a expressément enjoint la nombreuse assistance à ne pas oublier une prophétie  de Mahomet, fondateur de l’islam.

 Il s’agit d’un propos du dit prophète rapporté par ses compagnons dans le Hadîth (Tradition islamique ou Sunna), source majeure, après le Coran, de la Charia (Loi islamique). Mahomet aurait en effet annoncé que la conquête de Rome suivrait celle de Constantinople, première prophétie déjà réalisée en 1453 dans un bain de sang comme vous le savez. […] Venant de ce « docteur » soutenant ouvertement le Hamas et appelant à supprimer Israël, il y a de quoi s’inquiéter.

[…]La majorité présidentielle actuelle, par le biais des mairies gérées par ses membres, a facilité l’acquisition de terrains en vue d’édification de Grandes mosquées, dans les villes de Bordeaux, Mulhouse, Woippy et bien d’autres. Des terrains publics mis à disposition souvent sans contrepartie de loyers, quand il ne s’agit pas de financements directs des parties « culturelles ». L’opposition socialiste use des mêmes procédés, notamment à Nantes et à Poitiers, ville symbolique. »

La conclusion de cet aréopage de spécialistes est on ne peut plus explicite sur le danger évoqué.

« Nous nous adressons à l’Italie pour deux raisons :
 - Parce que nous avons l’impression de crier dans le désert, en écrivant des milliers de pages, en intervenant dans les médias pour un résultat nul, tout en prenant des risques évidents.
 - Parce que, étant Européens de langue latine ou Chrétiens arabes d’Orient, Rome est pour nous une des sources de nos racines en plus d’abriter le Vatican, clairement visé par ces islamistes.

 Pour toutes ces raisons, nous espérons que vous saisirez la gravité de la menace pesant sur notre civilisation commune et que vous interviendrez auprès du gouvernement français afin de lui demander s’il compte laisser les islamistes fomenter tranquillement l’invasion de votre territoire, déjà entamée à en juger la prière publique sur la place Vittorio Emmanuele à Rome le 20 septembre dernier. »

Ce qui se disait en 2009 se confirme en 2012.

Que sera notre pays en 2017 ?

Faudra-t-il alors sortir de l’Europe pour se faire entendre ?

Claude Trouvé
Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon